Je suis invitée aux Rencontres Internationales de Iasnaia Poliana (la propriété de Tolstoï) pour mon ouvrage Lettre d’Eté. J’ai tant lu le journal de Tolstoï comme celui de sa femme que je suis familière des lieux. Ils s’apparentent au fantasme de la campagne auquel je plie ma vie. Au milieu de savants, je dois communiquer sur mon rapport personnel au grand auteur qui a enchanté mon enfance.